La question est de nouveau soulevée par un randonneur attaqué par trois patous ce week-end dans le Vercors.
Nous préférons la formulation du titre plutôt que celle que l'on trouve dans le corps de l'article : non, les chemins de randonnée ne passent pas trop près des troupeaux !
Quant à l'avis de Frédéric Gontard, président de la fédération départementale ovine de la Drôme, selon lequel : Le prix à payer pour avoir le loup, c'est les chiens de protection, vous nous enlevez le loup, on enlève les chiens de protection, comme avant, et il n'y aura plus aucun souci, il est tout simplement inacceptable. Faut-il rappeler que la Convention de Berne a été ratifiée par la France ?
Et nous ne sommes pas sûrs que les accidents ne se comptent que sur les doigts d'une main, chaque année, comme il le prétend.