Quel droit à la justice pour les randonneurs ?
15 DÉC. 2016 —
Le 29 juillet 2016, un animateur des « Careirouns de l'Ubaye » (association affiliée à la FFRandonnée)
était violemment agressé par un patou.
Randonneur expérimenté, il avait respecté toutes les consignes : il était loin du troupeau et ne pouvait donc être accusé d'imprudence…
Après de nombreuses actions locales : lettre ouverte aux élus de la vallée, rencontre avec le sous-préfet de Barcelonnette, articles de presse, etc., nous avons décidé de mettre une pétition en ligne ;
c'est chose faite depuis le 8 septembre 2016 !
Notre animateur a déposé plainte…
Et quel n'est pas notre étonnement de découvrir hier, par la presse locale, que l'éleveuse a comparu au Tribunal de Grande Instance de Digne dans le cadre d'une « composition pénale » et que le délégué au ministère public « allait proposer au procureur de la République le classement sans suite de cette affaire » ?
De quelle justice parle-t-on quand on n'entend pas la « victime » ?
Il y aurait-il deux justices ?
Une justice pour les éleveurs : entourés de leurs confrères, représentés par un avocat ?
Et une justice pour les randonneurs ?
Pas informés, donc absents !
Et c'est un adage connu,
les « absents ont toujours tort » !
Nous ne renoncerons pas à faire entendre notre voix, votre voix !
Tout ce qui pourra être entrepris pour que l'éleveuse soit reconnue responsable de l'agression de son chien de protection sera fait.
15 DÉC. 2016 —
Le 29 juillet 2016, un animateur des « Careirouns de l'Ubaye » (association affiliée à la FFRandonnée) était violemment agressé par un patou.
Randonneur expérimenté, il avait respecté toutes les consignes : il était loin du troupeau et ne pouvait donc être accusé d'imprudence…
Après de nombreuses actions locales : lettre ouverte aux élus de la vallée, rencontre avec le sous-préfet de Barcelonnette, articles de presse, etc., nous avons décidé de mettre une pétition en ligne ;
c'est chose faite depuis le 8 septembre 2016 !
Notre animateur a déposé plainte…
Et quel n'est pas notre étonnement de découvrir hier, par la presse locale, que l'éleveuse a comparu au Tribunal de Grande Instance de Digne dans le cadre d'une « composition pénale » et que le délégué au ministère public « allait proposer au procureur de la République le classement sans suite de cette affaire » ?
De quelle justice parle-t-on quand on n'entend pas la « victime » ?
Il y aurait-il deux justices ?
Une justice pour les éleveurs : entourés de leurs confrères, représentés par un avocat ?
Et une justice pour les randonneurs ? Pas informés, donc absents !
Et c'est un adage connu, les « absents ont toujours tort » !
Nous ne renoncerons pas à faire entendre notre voix, votre voix !
Tout ce qui pourra être entrepris pour que l'éleveuse soit reconnue responsable de l'agression de son chien de protection sera fait.